Ce recueil est composé de textes brefs et de sept lettres, écrites sous l'emprise de la vodka, et adressées au premier venu, à une fenêtre éclairée, ou lancées à travers un vasistas.
Cinq récits gaiement désespérés composés par un écrivain rejeté par son époque (1887-1950) qui déchiffre la destinée humaine dans les coutures effilochées de son pardessus, explore le temps arrêté des cadrans aux devantures des horlogers, rassemble le néant des fissures et installe des usines à fabriquer des rêves.
Les récits fantastiques de ce recueil, écrits entre 1926 et 1939, ouvrent un monde fascinant au sein duquel métaphores, allégories, contes et paraboles, interrogent un temps où l’absurde a fait brutalement irruption.
Récits, écrits principalement au début des années 1920, revisitant dans un univers fantastique et absurde les thèmes du double, des objets ou parties du corps devenant autonomes, etc.
Les aventures du baron de Münchhausen, un personnage familier aux Russes depuis l'enfance, réactivées par Krzyzanowski en 1927, 10 ans après la révolution d'Octobre pour donner à comprendre la Russie des années 20. Mais le baron regagnera les pages de son livre, vaincu par la fiction du réel soviétique...
Ce récit évoque les souvenirs de Maximilien Sterrer, le héros, qui a effectué un voyage expérimental dans un coupe-temps,. Celui-ci l'a transporté en 1957 mais a raté de dix ans la date de son retour en 1928 au lieu de 1938. Riche en références littéraires, ce texte décrit la folie du monde à la veille de la Seconde Guerre mondiale.
